« Voilà !
À première vue je ne suis qu'un vulgaire comédien de vaudeville, à qui les vicissitudes de la vie font jouer le vilain et la victime et vice-versa.
Ce visage n'est pas que le vil reflet de ma vanité mais un vibrant vestige de la
vox populi aujourd'hui vacillante et vaincue.
Vous devez y voir, les vieux restes d'une vexation vieillissante aussi vive que vivante et vouée à vaincre cette vermine vulgaire vivace virulente et vénale qui vivote en privant ses valeureuses victimes vaincues de la vérité et des vraies valeurs !
Le seul verdict que je vois est la vengeance.
Une
vendetta violente brandie tel un ex-voto et non en vain visant à faire vaincre la vertu face à cette vilénie lovée dans les veines de nos villes.
Ces vagues vocales faisant de moi un ventriloque vociférant ces volutes verbales, revenons-en à l'essentiel.
Je suis honoré de vous rencontrer alors pour vous, je serai
V

mardi 6 mai 2008

La bataille de Verdun...

Un cortège de lycéen se réunit mardi matin devant la gare pour manifester gaiement.
La troupe prit la direction du centre-ville avec la tolérance de MONSIEUR le Préfet qui nous
"autorisait" à manifester. Les slogans fusèrent, les sittings s'assièrent et trois pas en arrière.







------------------------------------------------------------------------------------------
Nous nous apprêtames à repartir lorsque le monsieur à son talki nous dit:
"A Verdun, pas plus loin. Au rectorat, ça tapera."
ou quelque chose comme ça.
Forts de ces avertissements, nous reprîment notre marche en direction de la place de Verdun,
avec la ferme intention de passer en force jusqu'au rectorat.
Mais arrivés là, les chaines de C.R.S. se formèrent sur notre chemin empêchant notre assaut.



La foule s'arrêta, un oeuf fut jeté et commençèrent les échauffourées.



La lacrymo fut jetée, les flash-balls lançés,



La foule recula avec heurts et fracas.


Mais sitôt dispersée la foule se rassemblait
De plus en plus enervée (ou bien éméchée^^).


Formant un groupe compact marchant en rangs serrés.


Prêt à tout pour venger les amis embarqués
Le pavé à la main et le foulard au nez.

-----------------------------------------------------------------------------------------------

Deux heures durant la bataille continua.


Des discussions furent tentées mais en vain, nous n'avions pas le droit de manifester.



Les charges se succédèrent les unes après les autres ...




jusqu'à l'heure de manger.

1 commentaire:

Anonyme a dit…

Super les p'tites commentaires ! ;)
Continue !